Exposés à venir
Poisson bundles over unordered configurations
Catégorie d’évènement : Séminaire Théorie de Lie, Géométrie et Analyse Date/heure : 10 juillet 2025 14:00-15:00 Lieu : Amphithéâtre Hedy Lamarr – UFR MIM – Metz Oratrice ou orateur : Alessandra Frabetti (Lyon) Résumé :We construct a Poisson algebra bundle whose distributional sections are suitable to represent multilocal observables in classical field theory. To do this, we work with vector bundles over the unordered configuration space of a manifold M and consider the structure of a 2-monoidal category given by the usual (Hadamard) tensor product of bundles and a new (Cauchy) tensor product which provides a symmetrized version of the usual external tensor product of vector bundles on M.
Archives
Espace coarse, algèbre de Roe et application d'assemblage.
Catégorie d’évènement : Groupe de travail Géométrie non commutative Date/heure : 2 mai 2019 14:15-16:00 Lieu : Oratrice ou orateur : Fabien Bessière Résumé :En 1982, Baum et Connes ont conjecturé que l’application d’assemblage est un isomorphisme. Dans cet exposé, nous verrons comment construire cette application dans le cas d’un espace coarse. Plus précisément, on fixe un groupe discret G agissant proprement sur un espace coarse X et on définit une application de la K-homologie équivariante à supports G-compacts de X vers la K-théorie de l’algèbre réduite de G. Nous définirons la notion d’espace coarse ainsi que les algèbres de Roe qui sont des C*-algèbres qui encodent la structure coarse. Nous rappellerons le théorème de Voiculescu et la dualité de Paschke qui sont deux notions indispensables dans la construction de l’application d’assemblage.
Réduction des espaces symétriques symplectiques et représentations étales affines
Catégorie d’évènement : Séminaire Théorie de Lie, Géométrie et Analyse Date/heure : 25 avril 2019 16:30-17:20 Lieu : Oratrice ou orateur : Yannick Voglaire Résumé :Immersions isométriques à courbure moyenne constante
Catégorie d’évènement : Séminaire Théorie de Lie, Géométrie et Analyse Date/heure : 25 avril 2019 15:30-16:20 Lieu : Oratrice ou orateur : Benoît Daniel Résumé :Nous rappellerons certains résultats classiques (Ricci, Calabi, Lawson) concernant l’existence et l’unicité d’immersions isométriques à courbure moyenne constante d’une surface riemannienne dans une variété riemannienne de dimension 3 à courbure moyenne constante. Nous nous intéresserons ensuite à des extensions de ces résultats dans d’autres variétés riemanniennes homogènes de dimension 3.
Avoiding long abelian powers in words
Catégorie d’évènement : Séminaire de Théorie des Nombres de Nancy-Metz Date/heure : 25 avril 2019 14:30-15:30 Lieu : Oratrice ou orateur : Matthieu Rosenfeld Résumé :Résumé
Poisson (co)homology, D-modules, and symplectic resolutions.
Catégorie d’évènement : Séminaire Théorie de Lie, Géométrie et Analyse Date/heure : 25 avril 2019 14:00-14:50 Lieu : Oratrice ou orateur : Travis Schedler Résumé :Zéros lenticulaires et factorisation des polynômes presque-Newman lacunaires
Catégorie d’évènement : Séminaire de Théorie des Nombres de Nancy-Metz Date/heure : 4 avril 2019 14:30-15:30 Lieu : Oratrice ou orateur : Jean-Louis Verger-Gaugry Résumé :https://dev-iecl.univ-lorraine.fr/Les-Seminaires/Theorie-Des-Nombres/wolfcms/seminaire.html
Frises symplectiques et espaces de modules.
Catégorie d’évènement : Séminaire Théorie de Lie, Géométrie et Analyse Date/heure : 4 avril 2019 14:15-15:15 Lieu : Oratrice ou orateur : Sophie Morier-Genoud Résumé :Les frises de nombres sont des constructions algébriques introduites et étudiées par Coxeter au début des années 70. Coxeter établit des propriétés étonnantes en lien avec des objets classiques de la théorie des nombres ou encore de la géométrie projective. Les frises connaissent un regain d’intérêt ces dernières années dà» à des connections avec la théorie des algèbres amassées de Fomin-Zelevinsky. Dans cet exposé on présentera les frises de Coxeter et leurs généralisations, et l’on expliquera comment les espaces de frises s’identifient avec des espaces de modules de points dans les espaces projectifs. On s’intéressera plus particulièrement au cas des frises symplectiques et des configurations Lagrangiennes de points.
Changement de base et somme des chiffres
Catégorie d’évènement : Séminaire de Théorie des Nombres de Nancy-Metz Date/heure : 28 mars 2019 14:30-15:30 Lieu : Oratrice ou orateur : Thomas Stoll Résumé :https://dev-iecl.univ-lorraine.fr/Les-Seminaires/Theorie-Des-Nombres/wolfcms/seminaire.html
Intégrales orbitales sur les espaces de Cahen-Wallach
Catégorie d’évènement : Séminaire Théorie de Lie, Géométrie et Analyse Date/heure : 28 mars 2019 14:15-15:15 Lieu : Oratrice ou orateur : Thibaut Grouy Résumé :Sur un espace symétrique lorentzien, on définit les intégrales orbitales d’une fonction continue à support compact comme les intégrales sur les orbites du groupe d’isotropies dans le groupe des transvections. Le problème qui sera abordé lors de cet exposé est d’exprimer la fonction en termes de ses intégrales orbitales. Lorsque l’espace symétrique lorentzien est à courbure sectionnelle constante, les orbites du groupe d’isotropies sont les pseudo-sphères et le problème décrit ci-dessus a été résolu par S. Helgason en 1959 dans le cas de dimension paire. La solution prend la forme d’une formule-limite faisant intervenir l’opérateur de Laplace-Beltrami. En 1987, J. Orloff généralisa le résultat de S. Helgason à tous les espaces symétriques pseudo-riemanniens semi-simples de rang un, comprenant les espaces symétriques lorentziens à courbure sectionnelle constante de dimension impaire. Grâce à M. Cahen et N. Wallach, on sait que les espaces symétriques lorentziens indécomposables ont un groupe de transvections qui est soit semi-simple, soit résoluble. Les espaces semi-simples sont à courbure sectionnelle constante. Dès lors, le problème décrit ci-dessus est déjà résolu sur ceux-ci. Durant l’exposé, je présenterai des espaces modèles du cas résoluble que l’on appelle les « espaces de Cahen-Wallach » et j’expliquerai comment exprimer une fonction en termes de ses intégrales orbitales sur ces espaces. La solution prend également la forme d’une formule-limite faisant intervenir des opérateurs différentiels invariants.