Upcoming presentations
David Dereudre
Catégorie d'évènement : Groupe de travail Probabilités et Statistique Date/heure : 9 January 2025 09:15-10:15 Lieu : Salle de conférences Nancy Oratrice ou orateur : David Dereudre (Lille) Résumé :L’orateur du seminaire donnera un expose’ introductif.
TBA
Catégorie d'évènement : Groupe de travail Probabilités et Statistique Date/heure : 23 January 2025 09:15-10:15 Lieu : Salle de conférences Nancy Oratrice ou orateur : Philippe Chassaing Résumé :Introduction aux polytopes aléatoires
Catégorie d'évènement : Groupe de travail Probabilités et Statistique Date/heure : 27 March 2025 09:15-10:15 Lieu : Salle de conférences Nancy Oratrice ou orateur : Xavier Goaoc Résumé :Première de deux séances par le même orateur.
Xavier Goaoc
Catégorie d'évènement : Groupe de travail Probabilités et Statistique Date/heure : 3 April 2025 09:15-10:15 Lieu : Salle de conférences Nancy Oratrice ou orateur : Xavier Goaoc Résumé :Deuxième de deux séances par le même orateur.
L’orateur presentera un article de titre ”Random polytopes and the wet part for arbitrary probability distributions”
Pas presentations
Surfaces aléatoires et EDPS singulières
Catégorie d'évènement : Groupe de travail Probabilités et Statistique Date/heure : 8 December 2022 09:15-10:15 Lieu : Salle de conférences Nancy Oratrice ou orateur : Tristan Robert (IECL) Résumé :Dans cet exposé on s’intéressera à la construction de métriques Riemanniennes aléatoires sur les surfaces compactes, qui interviennent en théorie conforme des champs de Liouville. On étudiera la construction rigoureuse de la mesure de Liouville en suivant des travaux de Guillarmou-Kupiainen-Rhodes-Vargas, puis on s’intéressera à des EDPS préservant cette mesure.
Introduction à : Théorèmes de turnpike en contrôle stochastique
Catégorie d'évènement : Groupe de travail Probabilités et Statistique Date/heure : 24 November 2022 09:15-10:15 Lieu : Salle de conférences Nancy Oratrice ou orateur : Giovanni Conforti (CMAP, École Polytechnique) Résumé :Ce groupe de travail est une introduction au séminaire de Probabilités et Statistique qui aura lieu juste après le groupe de travail.
Autour de la stabilité de différents modèles d'appariements aléatoires
Catégorie d'évènement : Groupe de travail Probabilités et Statistique Date/heure : 10 November 2022 09:15-10:15 Lieu : Salle de conférences Nancy Oratrice ou orateur : Jocelyn Begeot (IECL) Résumé :Les modèles d’appariements aléatoires représentent de nombreux systèmes stochastiques concrets dans lesquels des éléments de différentes classes sont appariés selon des règles de compatibilités spécifiées. Par exemple, on peut citer les systèmes dédiés à l’allocation d’organes, les sites de recherche d’emplois, de logements, etc. De tels modèles sont toujours associés à un triptyque d’éléments : un graphe connexe, dit de compatibilités, dont les sommets représentent les classes des éléments pouvant entrer dans le système et dont chaque arête relie deux classes compatibles, une politique d’appariements permettant de décider, en cas d’incertitude, quels appariements vont s’effectuer à l’intérieur du système, et un taux d’arrivées selon lequel les éléments entrent en son sein. Dans cet exposé, nous considérerons des graphes généralisés, c’est-à-dire que l’on autorisera l’appariement de deux éléments de la même classe, et nous étendrons donc à ce cadre certains résultats déjà connus dans le cas de graphes simples.
La stabilité d’un système régi par un modèle d’appariements est une propriété très importante. En effet, elle assure que les admissions au sein du système étudié sont contrôlées de sorte que les éléments ne restent pas bloqués à l’intérieur et que leur nombre n’augmente pas indéfiniment. Il est donc essentiel que le taux d’arrivées des éléments permette au système d’être stable. Dans cet exposé, nous caractériserons de manière algébrique cette zone de stabilité pour certains modèles d’appariements (généraux, généraux avec abandons, bipartis, bipartis étendus) ou de files d’attente, dites skill-based.
Par ailleurs, nous montrerons que la politique d’appariements dite First Come, First Matched (FCFM) possède la propriété d’être maximale (généralisée), c’est-à-dire que la zone de stabilité du modèle d’appariements général associé à un graphe de compatibilités et à une politique quelconque est toujours incluse dans celle associée à ce même graphe et à FCFM. Notons que cette dernière coïncide alors avec un ensemble de mesures défini par des conditions purement algébriques. Dans ce cas, la question de l’étude des mesures permettant la stabilité des systèmes régis par un modèle d’appariements revient donc à celle, plus élémentaire, de la caractérisation d’un ensemble déterministe. Nous donnerons alors un moyen de construction (simple) des mesures appartenant à celui-ci, ce qui peut s’avérer très utile pour calibrer le contrôle d’accès au système. En effet, la vérification algorithmique qu’une mesure quelconque vérifie ces conditions algébriques nécessite un nombre d’opérations polynomial en le nombre de sommets du graphe, et devient donc très coûteuse à mesure que ce cardinal augmente.
Nous expliciterons également, sous une forme produit, l’expression de la loi stationnaire de l’évolution temporelle du contenu d’un système stable régi par un modèle d’appariements général et sous la politique FCFM, permettant, notamment, de calculer explicitement des caractéristiques à l’équilibre de systèmes concrets et d’estimer leurs performances en temps long. On peut ainsi, par exemple, calculer la taille moyenne à l’équilibre d’une liste d’attente dans le cadre de dons croisés de reins, ou encore, estimer le temps moyen d’attente sur une interface pair-à-pair ou un site de rencontres.
Enfin, les taux d’appariements associés à un modèle d’appariements (général ou biparti étendu) stable seront étudiés. Ils sont définis comme étant les fréquences asymptotiques des appariements réalisés et fournissent un critère de performance des systèmes régis par de tels modèles d’appariements, de même que les propriétés de politique-insensibilité et d’équité de ces taux, qui seront également discutées.
Primitives et dérivées fractionnaires : quelques résultats et applications - partie 2
Catégorie d'évènement : Groupe de travail Probabilités et Statistique Date/heure : 20 October 2022 09:15-10:15 Lieu : Salle de conférences Nancy Oratrice ou orateur : Renaud Marty (IECL) Résumé :Suite de la semaine précédente:
Dans cet exposé nous donnons des définitions des primitives et dérivées fractionnaires.
Plusieurs résultats seront enoncées et démontrés, en particulier sur l’intégration par parties et les équations différentielles fractionnaires.
Enfin nous présenterons quelques applications en probabilités.
Primitives et dérivées fractionnaires : quelques résultats et applications
Catégorie d'évènement : Groupe de travail Probabilités et Statistique Date/heure : 13 October 2022 09:15-10:15 Lieu : Salle de conférences Nancy Oratrice ou orateur : Renaud Marty (IECL) Résumé :Les deux premiers esposés de l’année nous aurons le plaisir d’écouter Renaud sur Primitives et dérivées fractionnaires : quelques résultats et applications. Suit le résumé que Renaud nous a transmis.
Dans cet exposé nous donnons des définitions des primitives et dérivées fractionnaires.
Plusieurs résultats seront enoncées et démontrés, en particulier sur l’intégration par
parties et les équations différentielles fractionnaires.
Enfin nous présenterons quelques
applications en probabilités.
Analyse probabiliste d'un algorithme d'apprentissage par renforcement pour trouver des plus courts chemins.
Catégorie d'évènement : Groupe de travail Probabilités et Statistique Date/heure : 16 June 2022 09:15-10:15 Lieu : Oratrice ou orateur : Zoé Varin Résumé :On considère un algorithme probabiliste suivi par des fourmis cherchant un plus court chemin entre leurs nids et une source de nourriture. À chaque étape une fourmi suit une marche aléatoire, dont les transitions dépendent des phéromones déposés par les fourmis précédentes, de son nid jusqu’à la source de nourriture. Nous verrons que le renforcement (i.e. le choix des arêtes sur lesquelles une fourmi dépose des phéromones) influe sur le comportement du processus, qui dans un certain nombre de cas converge : intuitivement, les fourmis coopèrent pour trouver des plus courts chemins. Je parlerai de différents résultats de convergence, en particulier pour une variante du modèle sur laquelle j’ai travaillé, dans laquelle le nid de départ est également aléatoire.
Théorie des lieux et probabilités : Quand changer de vision sur la topologie résout plusieurs paradoxes de théorie de la mesure
Catégorie d'évènement : Groupe de travail Probabilités et Statistique Date/heure : 9 June 2022 09:15-10:15 Lieu : Oratrice ou orateur : Rémi Peyre Résumé :Nous l’avons tous appris en licence : il n’est pas possible d’étendre la mesure de Lebesgue à toutes les parties de [0, 1] d’une façon qui en conserve les propriétés satisfaisantes ! Il y a même pire : même en retirant la notion de « propriétés satisfaisantes », on ne peut construire aucune mesure de probabilité sur 𝔓([0, 1]) qui étende la mesure de Lebesgue (théorème d’Ulam) ; et sur 𝔓(ℝ3), il n’existe aucune extension finiment additive de la mesure de Lebesgue qui serait invariante par isométrie (paradoxe de Banach-Tarski)… D’autres points sont moins paradoxaux, mais presque aussi frustrants : pourquoi ne peut-on pas définir le support d’une mesure comme « la plus petite partie de mesure pleine » ? Pourquoi n’est-il pas possible de couper ℝ en deux parties parfaitement symétriques (comme on couperait une ficelle avec une lame) autrement qu’« à ensemble négligeable près » ?…
Il s’avère que tous ces problèmes disparaissent lorsque, au lieu de raisonner en termes de parties de ℝd, on raisonne plutôt en termes de lieux. Un « lieu » peut représenter une partie de ℝd quelconque, mais aussi des choses plus exotiques, comme par exemple le voisinage de l’infini ou le germe d’un cône ouvert : il s’agit simplement d’une autre façon d’appréhender la topologie, façon parfois qualifiée de « topologie sans points » : en effet, dans cette approche, il est possible de ne contenir aucun point sans être vide pour autant ! La théorie des lieux, développée initialement pour des raisons n’ayant rien à voir avec les questions de mesurabilité, se trouve néanmoins être parfaitement adaptée à celles-ci, et y résout nombre de paradoxes. Le point central est que la notion d’« être disjoints » au sens des lieux s’avère plus restrictive que la notion usuelle d’« ensembles disjoints » : or, toutes les constructions paradoxales de la théorie de la mesure reposent sur des ensembles dont la disjonction est “pathologique”, ce que la théorie des lieux permet de mettre en valeur !
Dans cet exposé, j’essaierai d’expliquer toutes ces choses, que j’ai découvertes récemment.
Réunion d’équipe sur les enseignements
Catégorie d'évènement : Groupe de travail Probabilités et Statistique Date/heure : 19 May 2022 09:15-10:15 Lieu : Oratrice ou orateur : Résumé :TBA
Catégorie d'évènement : Groupe de travail Probabilités et Statistique Date/heure : 12 May 2022 09:15-10:15 Lieu : Oratrice ou orateur : Florent Koechlin. Résumé :Exit time for Self-Interacting diffusions
Catégorie d'évènement : Groupe de travail Probabilités et Statistique Date/heure : 28 April 2022 09:15-10:15 Lieu : Oratrice ou orateur : Ashot Aleksian (Université de Saint-Etienne) Résumé :In this talk we will discuss Self-Interacting diffusions (SID), its basic properties and applications. We also discuss what constitutes the Exit-time problem, why it is important, and for which dynamical systems it was already established. We present the recent results of exit-time problem for a specific case (convex confinement and convex interaction) of SID and how they were established. In the end of the talk we discuss some ideas to generalize this result